A lovely interpretation, slower tempo, pensively soothing for the evening.
Pianist: Vadim Chaimovich, Frédéric Chopin “Nocturno en si bemol menor, opus 9 n° 1”
Yundi Li: Live performance from the National Opera in Warsaw [2010], delicate and graceful.
My favorite emotive piece played by Brigitte Engerer:
Elizabeth Sombart teaches:
Coupure de presse :
…
Disons-le d’emblée, c’est l’un des plus beaux récitals consacré à Frédéric Chopin que nous ayons entendu.
Dans son approche pianistique, Elizabeth Sombart démontre une connaissance si entière de cette musique qu’elle retient le souffle du public;
elle charge chacun des Nocturnes qu’elle a retenus d’une intériorité quasi religieuse, et d’un lyrisme si profond, qu’elle l’invite à la méditation plus encore qu’à l’écoute.
Il se dégage de son jeu une sérénité fascinante qui vous emporte, et derrière sa simplicité apparente, il se cache une attention réfléchie et minutieuse :
chaque pièce sonne ainsi comme une confidence de la pianiste elle-même, à l’instar de Chopin qui composa les Nocturnes tout au long de sa vie créatrice à titre de confession musicale.
Et puis quel toucher ! Des perles, du cristal, des notes qui envahissent l’auditoire, et un charme envoûtant qui le submerge.
Sans se laisser aller à la mièvrerie, elle caresse son clavier avec une maîtrise incroyable, allant jusqu’à nous obliger à tendre l’oreille pour percevoir des notes susurrées,
comme dans les deux opus posthumes, qui sont comme des méditations sur la fatalité irréversible du temps.
A juste titre, le public lui fait une ovation à l’issue du concert, et elle lui offre, en guise de bis,
une composition de Liszt dédiée à la mémoire de Chopin, la Troisième Consolation, qu’elle interprète avec autant de tendresse que de retenue.
Autant dire que c’est le cœur étreint que nous sortons du théâtre.
Tubularsock loves piano rock at night . . . Thanks.
LikeLike
😉
LikeLike